Quand la philanthropie se met au service du climat et de la justice, tout un pan de solutions devient possible. J’ai eu le plaisir d’échanger avec la Fondation McConnell qui gère un portefeuille de plus de 650 millions $ et oriente ses investissements vers trois grands axes :
🌍 la lutte contre les changements climatiques,
🤝 la réconciliation avec les peuples autochtones,
⚖️ la justice sociale.
Nous avons discuté du rôle concret que peuvent jouer les fondations dans la politique climatique fédérale : comment elles peuvent financer des projets pilotes, réduire les risques pour les organismes environnementaux et accélérer la transition juste.
Quelques éléments saillants de nos échanges :
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32 M$ sont déjà consacrés aux trois axes principaux.
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Objectif : 100 % d’investissements d’impact d’ici 2028 (contre 30 % actuellement).
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Le portefeuille vise la carboneutralité d’ici 2050.
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La fondation collabore avec plus de 350 partenaires, principalement des ONG environnementales.Elle milite pour maintenir le quota de versement de 5 % des fondations, essentiel pour soutenir la philanthropie active.
La discussion a aussi porté sur la taxonomie verte, un cadre financier fédéral qui pourrait ouvrir la voie à de nouveaux investissements climatiques au Québec.
Ces échanges rappellent que la lutte contre la crise climatique n’appartient pas qu’aux gouvernements : la philanthropie peut être un levier stratégique puissant pour mobiliser des ressources, bâtir des ponts et accélérer la transition.
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